Bernard Soufflet : l’ambassadeur du Cantal Ink passionné de culture japonaise

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Mercredi, 3 Février 2016

Certes, à première vue, son nom évoque autant le Japon que celui d’Akira Kurosawa évoque les paysages auvergnats. Pourtant, on aurait tort de juger le livre – passionnant – qu’est Bernard Soufflet à sa couverture. Derrière ce tatoueur se cache un passionné de culture nippone, un artiste au fait des traditions les plus pointues ayant cours sur l’archipel extrême-oriental… et un ambassadeur fidèle du Cantal Ink.

Un tatoueur japonais à Paris

Depuis son studio du 15ème arrondissement de Paris et fort de plus de trois décennies d’expérience dans le tattoo, Bernard Soufflet encre dans le plus pur respect des méthodes japonaises. Sous le pseudonyme d’Horisei – celui qui grave les cœurs –, le tatoueur fait vivre sur l’épiderme de sa clientèle l’irezumi. C’est ce même irezumi qui sera à l’honneur au prochain Cantal Ink, les 2 et 3 juillet 2016, à travers la visite très attendue du maître Honda Tsuyoshi.

L’érudition au service du tattoo japonais

Immense amateur du Japon doublé d’un fin connaisseur du sujet, Bernard Soufflet met son savoir des arts martiaux nippons et de l’héritage de l’archipel au service de son art. Sur son blog, le grand ami du Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues Paulochon dresse le portrait de ce personnage unique du paysage de l’encrage contemporain.

Passerelle humaine et attachante entre la France et l’Empire du soleil levant, Bernard Soufflet, qui soufflera sa soixantième bougie quelques jours avant le Festival du Tatouage 2016, prépare également sa propre convention de tatouage, prévue pour l’automne 2017 sur les bateaux-mouches de Paris. Du côté du Cantal Ink, on a hâte, très hâte d’y être…

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