Nico di Bernardo, votre DJ du Festival du Tatouage

L’équipe du Cantal In’k the Skin vous présente un nouvel invité du Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues 2014 : Nico di Bernardo, DJ autodidacte qui n’a pas les platines dans sa poche ! Portrait.

Derrière les platines depuis les années 1990

Nico di Bernardo entame sa carrière dans les années 1990. Sauteries privées et fiestas publiques, le DJ en herbe acquiert de l’expérience, fait son petit bonhomme de chemin et affine son son, un style électro underground qui lui vaut les faveurs des soirées branchées clermontoises.

Le retour du DJ clermontois

A l’aube du nouveau millénaire, Nico di Bernardo s’éloigne des pistes de danse – priorité à la famille, valeur si chère au Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues. Mais le DJ n’en abandonne pas ses platines pour autant… tant et si bien qu’en 2001, il replonge ! Fort d’un équipement dernier cri et bien à jour des nouvelles techniques et des styles qui font fureur, il fait son comeback sur la scène auvergnate, pour le plus grand plaisir de celles et ceux qu’il avait su faire danser… et des autres.

Un DJ rock ou électro ? Les deux !

Nico di Bernardo a fait l’amitié à l’équipe du Cantal In’k the Skin de participer aux festivités du premier week-end de juillet 2014. Et lorsqu’on lui demande pourquoi mixer dans un festival de tatouage – face à un public réputé comme plus branché « rock » –, il répond :

« Le DJ se doit de faire plaisir à son auditoire, mais il se doit aussi de lui faire découvrir d’autres sons ! Avant, je faisais des sets techno house underground, aujourd’hui je propose des mix électro mâtinés de pop, de rock ou de jazz. Cela m’affranchit des limites d’un style en particulier et me permet de transporter le public dans mon monde. De plus, le tatouage se démocratise depuis quelques années déjà. Il se mélange dans les différentes classes socioculturelles. Eh oui, il n’y a plus seulement les prisonniers, les marins et les rockers qui se marquent ! Les épithètes du tatouage sont identiques à ceux des styles musicaux : tribal, commercial, vintage, old school ou encore gothique. Chaque catégorie possède ses codes, ses modes, sa musique… donc son tatouage ! »