Portrait du tatoueur Steven Chaudesaigues en vidéo

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Vendredi, 20 Mars 2015

Il porte (à un tiret près) le nom du village au sein duquel est né le Cantal In’k : Chaudesaigues. Et lorsque l’on écrit « il », on ne fait pas allusion au père, fondateur de l’événement… mais à l’aîné des fils, Steven. Pounti Prod, à qui le Festival du Tatouage doit quelques-unes des plus belles vidéos tournées à son sujet, a consacré à ce jeune tatoueur quelques minutes de portrait. À voir et, pourquoi pas, à revoir…

Le portrait vidéo de Steven Chaudesaigues, tatoueur au Cantal In’k

@Vidéo et photos : Pounti Prod

Depuis le studio de tatouage Graphicaderme d’Avignon, où il tatoue lorsqu’il n’encre ni dans celui de Chaudes-Aigues, ni pendant les quelques jours sur lesquels s’étale le Cantal In’k, Steven Chaudesaigues se prête au jeu des confidences. Son cœur, il nous l’ouvre entre deux mouvements de dermographe et autant de rapprovisionnements en encre. Un plaisir pour les yeux autant que pour les oreilles…

Du haut de ses 27 printemps, Steven Chaudesaigues nous parle de son expérience de déjà 10 années dans le tattoo – on laissera à nos lecteurs le soin de calculer l’âge du premier tatouage… Enfin, de « vrai » tatouage. Car Steven Chaudesaigues boxe dans la catégorie Précoces : « la première fois que j’ai commencé à tatouer, je devais avoir 7 ou 8 ans », lâche-t-il, nonchalant !

Lorsqu’on le questionne sur ses influences, Steven Chaudesaigues parle de Joe Capobianco, de Matteo Pasqualin, ou encore de Jeff Gogue. Des noms au son familier ? Rien de plus normal : ils étaient tous les trois dans le Cantal, pour un festival dont l’on attend avec impatience le retour…

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