L’interview de Stéphane Chaudesaigues après le Cantal Ink 2017

Jeudi, 5 Octobre 2017

Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues mais aussi séminaires de tattoo et avenir des professionnels de l’encrage : à l’issue du 5ème Cantal Ink, le tatoueur Stéphane Chaudesaigues est revenu sur quelques-uns des sujets qui lui tiennent à cœur en répondant aux questions posées.

 

Regarder l’entretien avec Stéphane Chaudesaigues à l’été 2017

Comment s’est déroulé le Cantal Ink 2017 ?

"C’est celle que j’aurais aimé faire dès la première", révèle le tatoueur au sujet du 5ème volet à peine révolu.

Pourquoi faire le Cantal Ink à Chaudes-Aigues ?

"Un vrai retour aux sources", confesse le fondateur de l’événement, la source du Par en tête.

Qui sont les tatoueurs du Cantal Ink 2017 ?

"La plupart sont des amis", évoque non sans fierté Stéphane Chaudesaigues, songeant à Shane O’Neill, Hannah Aitchison ou encore Kalil Moktar.

Aimerais-tu faire une édition 2018 ?

"Il y a ce qu’on peut, il y a ce qu’on aimerait, et il y a la réalité" : le constat tiré à la fin de l’été est déjà dans l’esprit de l’interviewé.

Après la convention, le séminaire. Quelques mots ?

Quelques mois avant le prochain séminaire de Tatouage & Partage avec Joshua Carlton et Thomas Carli Jarlier, Stéphane Chaudesaigues annonce : "Il est vraiment question de transmettre des valeurs, un savoir".

Le tatoueur : artiste ou artisan ?

"Tous les tatoueurs ne sont pas forcément des artistes", répète Stéphane Chaudesaigues. Interrogé sur les revendications des tatoueurs, il avertit à nouveau : "On n’a pas de cadre professionnel et nous ne sommes pas reconnus comme professionnels". La solution ? "Il faudrait qu’on puisse se fédérer, nous retrouver".

Le mot de la fin ?

"Le tatouage reste une transgression".

© EMBLEM Production 2017

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